Maison Ikkoku est une oeuvre japonaise et l'auteur a décidé d'instaurer dans son oeuvre le respect, au Japon il utilise des suffixes par marque de respect, lorsque Maison Ikkoku a été traduit en France les traducteurs ont utilisé le vouvoiement pour le manga et lorsque AB a sortis les DVD VOSTFR, par contre lors de sa diffusion en 1988 sur tf1 sous le titre de juliette je t'aime les personnages se tutoyer et était très familier, et ses aussi peut être la raison en partis si les deux protagonistes ne se sont pas avouer leurs sentiments plus vite ils étaient plus respectuex, ceux que malheureusement nous n'avons pas perçus dans la version française.

Maison ikkoku a été écrit par rumiko Takahashi en octobre 1980, le manga a été publié pour la première fois le 14 octobre 1980 dans le big comic spririt. Le succès a été tel qu'en mars 1986 sortait a la télévison japonaise le dessin animé adapté du manga, alors que le manga n'était pas encore terminé, il c'est fini en mars 1987, le dessin animé c'est fini en mars 1988.

En 1988 les responsables et dirigeants de l'émission le club dorothée achète par lot des dessins animés japonais, se sont ceux qui on eux la plus grosse audience et le plus de succès dans leur pays et c'est ainsi que nous avons pu découvrir maison ikkoku diffusé le 5 septembre 1988 sur tf1 au club dorothée sous le titre de juliette je t'aime, bien entendu comme la plupart des dessins animés la série sera re adapté pour convenir a des enfants de 8/10 ans alors qu'au japon la série était diffusé pour les 18/25 ans.

C'est une histoire d'amour entre Yusaku Godai un jeune étudiant et Kyoko Otonashi jeune veuve qui devient concierge dans la résidence où vit Godai, on voit se construire leur relation sur fond humoristique entre les situations et quiproqos entre les deux protagonistes et le trio infernal (Akémi, Yotsuya et Ichinosé) qui mettent des batons dans les roues de Godai, sur fond dramatique, triste, émouvant où l'on voit Kyoko encore dans le deuil qui va apprendre à aimer de nouveau......

Au Japon ainsi qu'en France la série a eu beaucoup de succès, chez nous elle a était diffusé 3 fois en 1988, 1991, 1992 en intégralité au club dorothé en 4 ans , immaginer la série diffusé en France avec un titre plus accrocheur par exemple "un amour qui se dévoile en 7 ans" ou " la maison d'un instant" (traduction du titre originale), la voix de l'héroine moins aigu, les dialogues sans la re adaptation, le vouvoiement entre les personnages (comme dans l'oeuvre originale), plus des "mon petit hugo" par juliette, qui se saoule vraiment avec de la bière et du saké pas avec du jus de pomme, de la limonade et que lorsqu'on vois leur comportement cela sois incompréhensible, la série aurait été un vrai must, merci tonkam et ab vidéo d'avoir sortie les mangas traduit fidèlement et aussi d'avoir sortie les dvd VO sous titré français, plus de censure on a tous.

Sur le site Maison ikkoku j'utilise les noms et prénoms d'origine des personnages, voici une liste des noms des personnages en japonais et en français pour mieux se retrouver:

Juliette Rosier / Kyoko Otonashi

Hugo Dufour/ Yusaku Godai

Pauline/ Hanaé Ichinosé

Charlotte / Akemi Roppongi

Stéphane / Yotsuya

François Talmont / Shun Mitaka

Maxime /Soichiro

Léo / Kentaro

Suzanne / Kozué Nanao

Clémentine Bardin / Ibuki Yagami

Marina / Ikuko

Mr Rosier / mr Otonashi

Marc / Sakamoto

Dans l'oeuvre originale les personnages s'appelle par leur nom de famille signe de respect, lorsqu'on france le manga et le dessin animé VO stfr sortie en dvd par ab son sortie a la vente ils ont utilisé le vouvoiment plus pertinent car on utilise le vous aussi  dans d'autre pays, mais au japon il utilise des suffixes, chez nous on le traduit par "mr/mme/mlle" après le nom ou le prénom ou la fonction de travail des personnes par exemple kyoko tous le long de l'oeuvre ils l'appellent " madame la concierge" au Japon il utilise le respect pas de la même façon que nous, mais j'en parlerais dans un des sujets du site.

Rumiko écrit une histoire très réaliste qui peut se passer dans la réalité les personnages qu'elle a créé sont très attachant avec leur qualité et leur défaut parlant du Japon et leur tradition du début des années 80 parlant des problèmes que rencontre les jeunes (étudiant etc...), le chomage, les problèmes d'argent, les mariages arrangés, les difficulté de décrocher un travail, l'indépendance de la femme, le statut d'une femme veuve au Japon, des femmes qui se retrouve seul a élever leurs enfants, l'hypocrisie de la société à cette époque, les désirs sexuel, beaucoup diront que c'est son oeuvre la plus réaliste et la plus abouti.

C'est une histoire qui plait autant aux filles qu'aux garçons, c'est une très belle histoire d'amour avec les problèmatiques de la vie.

Vous mettez une pincé d'humour, vous soupoudrez de romantisme, vous caramélisé avec quelques personnages haut en couleur, vous mélangez et vous obtenez maison ikkoku.

Voilà je vous laisse dégustez.

Actualité

Rumiko Takahashi a remporté le grand prix du 46ème festival d'Angoulême le jeudi 24 janvier 2019. Elle a commencé sa carrière il y a 40 ans et a participé pour une part